1-Thomas
2-Augustin
3-Amitié
4-Anniversaire
2-Augustin
Comme touts les matins les ondes de sa montre connecté réveille Augustin en douceur. Il n'a aucune envie de ce lever, mais s'il ne sort pas du lit, il se fera sûrement virer de son boulot, il devra retourner chez sa mère et ça c'est hors de question.

Un léger soupire s'echappe de ses lèvres avant qu'il ne rejoigne la salle de bain. Il prend une chemise blanche et un pantalon noir dans son armoire. Il se coiffe. Puis toujours d'un pas traînant se dirige vers la cuisine.

Il attrape un bol, des céréale et du lait. Il n'a pas très faim mais il se force. Une bouchée après l'autre. Ses yeux menassent de se fermer malgré lui. Hier il s'est couché tard. Il était occupé à peindre.

Alors qu'il allait à nouveau prendre une bouchée, une voix le fait sursauter :

- Bonjour monsieur pourquoi ne pas m'avoir appelé ? J'aurais pu vous donner les nouvelles du jour.

Augustin soupire le plus fort qu'il peut, une réaction enfantine mais pour le moment il s'en fou.

- Ma très chère Maria, je t'avourais que ca ne m'intéresse pas.

Maria c'est l'intelligence artificiel que la mère d'Augustion à fait installer chez lui sans son avis.

Augustin détester Maria elle lui rappelle que même si il a quitté le nid, sa mère continue à surveiller ces moindres faits et gestes.

Depuis toujours sa mère et bien trop protectrice et ça a vite tourner à l'obsession.

Quand il était plus jeune elle a même était jusqu'a mettre des puces dans ses affaires.

Malgré ses vingt et un ans, Augustin dépend encore de sa mère. Alors il fut obligé d'accepter Maria.

Il fut à nouveau interrompu dans ses pensés par Maria.

- Monsieur, je tiens a vous rappeler que vous avez payé un homme pour le ménage et la cuisine cette semaine

- Ha oui c'est vrai j'avais oublié !

- Il arrive dans trois minutes, Monsieur.

Augustin comprend qu'il n'auras jamais le temps de finir son déjeuner. De toute facon il ne l'aurait surement pas fini. Alors il attrape son paquet de cigarette et son briquet puis vas sur son balcon. Il devrait voir l'homme arriver.

On lui repettait souvent que fumer n'était pas une bonne idée, qu'il se tuait à petit feu. Augustin répondait à ses gens que de toute façon il mourrait un jour, alors autant qu'il choisisse la raison. Mais la vrai raison est toute autre, moins psychologique. C'était un acte de rébellion envers sa mère, un acte de trahison. Et puis comme toute drogue,  il est devenu adicte. Capable de fumer un paquet complet les mauvais jours.

Mais pour l'instant ne compte que cette cigarette, qu'il allume. Le vent frais fouette son visage. Quelque gouttelettes viennent s'écraser sur c'est yeux fermé . La fumée brûle ses poumons de l'intérieur. Alors il la recrache. Comme un jeux, oui peut-être que c'est ça en fait un jeux. Je t'attrape puis te recrache. Augustin sourit à cette pensée. Un rien le fait sourire ces derniers temps.

Une minutes plus tard un jeune homme arrive devant la porte de l'immeuble.
Il paraît petit mais peut être que c'est seulement car Augustin est en hauteur ?
Le jeune homme à des cheveux brun court mais en bataille on dirait qu'il n'a pas prit la peine de les brosser.

Augustin attend que le jeune homme sonne mais celui-ci regarde sa montre. Augustin s'impatiente que fait-il ? Il pleut en plus.

Enfin le jeune homme daigne sonner à l'interphone.

Alors sa voix résonne dans l'appartement.

- Heu... Bonjour je suis l'homme de ménage . Serait-Il possible de m'ouvrir la porte ?
- Oui, oui cinq seconde.

Augustin tire une dernière taf. Puis vas appuyez sur un bouton qui ouvre la porte du bas de l'immeuble.

Il attend à peine deux minutes que des grommelements lui parviennent de derrière la porte. Alors Augustin ouvre la porte est tombe sur le jeune homme de tout à l'heure.

Il est plié en deux les mains sur les genoux, le visage rouge et il respire bruyamment.

Augustin se demande ce qu'il a bien pu faire pour être dans cette état. Alors il lui demande :

- Salut, heu l'ascenseur est en panne ?

Le garçon sursaute, leve la tête et croise le regard d'Augustin. Il écarquille les yeux surpris.

- Non, enfin oui, enfin je sais pas j'ai pas fait attention j'ai pris les escalier.

- Mais.. j'habite au dernier étages !

- Je me suis dit que ça me ferais faire du sport mais je pensais pas que c'était si dur.

Augustin sourit et fait entrer le garçon. Pendant que celui-ci observe la déco, Augustin l'observe lui.
" Bah oui je laisse pas ma maison à n'importe qui ! " pense-t-il pour ce justifier.

L'homme porte un t-shirt beige et un pantalon noir. Augustin ne c'est pas tromper, il n'est pas très grand. Il se rend compte qu'il ne lui a pas demander son nom.

- Comment t'appelle tu ?

Le garçon sursaute a nouveau. Il se retourne.

- Thomas et toi ? Au fait ce tableau est trop beau !

Le tableau dont Thomas parle Augustin avait prévu de le jeter. Il ne l'aimait pas. C'est un cadeau de sa mère .

- Augustin.

Soudain Maria intervient :

- Monsieur vous devez partir au travaille. Vous allez être en retard.

Thomas sursaute et manque de tomber en ce cognant dans la table.

- Bordel de merde!

Dit-il en se tenant la jambe et en sautillant.
Augustin éclate de rire.

- C'est Maria mon intelligence artificiel. Je doit partir au boulot j'ai mis sur le frigo une liste des choses à faire. Mon numéro de téléphone est dessus si tu as besoin d'infos.

Et avant que Thomas  ai eu le temps de répliquer Augustin a attrapé sa malette et est sorti.

Alors qu'il allait appeler l'ascenseur une idée bête lui passe par la tête. Et si il prenait les escaliers ?

Voici donc Augustin qui dévale les escalier parce que rappelons le : le boulot.

Enfin il arrive en bas aussi rouge et essoufflé que Thomas. Il appelle un taxi, il pleut encore. Il arrive au boulot avec quelque minutes de retard. Il se fraye un passage parmis les bureaux de ses collègues et arrive au siens sans embrouilles. Ouf sauvé ce n'est pas aujourd'hui que son patron le renverra.
© _eclairdesoleil_ ,
книга «Le début de la fin».
Коментарі