C.
- C'est encore de ta faute ! Je t'avais dit de faire attention ! T'es qu'un incapable !
Une deuxième assiette qui vole pour rejoindre la première au pieds de Camile. Quand il avait fait tomber la première, il craignait déjà son retour, mais maintenant il en était sur. Lucifer était de retour.
De ses yeux brûlants des enfers il le fixait. Ses cernes noirs les soulignaient, lui donnant un air presque irréel qui effrayait Camile. Sa bouche d'habitude pulpeuse, n'était plus qu'une ligne droite. Camile aurait jurait voir les flammes se dressait derrière lui quand il avait déclarait d'une voix qui ne laissait place au refus :
- Nettoie.
Puis il avait quitté la pièce en prenant garde à bousculer l'épaule du pauvre jeune homme.
Celui-ci avait ramassé les morceaux brisés sur le sol. Les cris de son copain lui revenant sans cesse, lui crevant les oreilles. Ce ne fut que quand il s'ouvrit la main involontairement qu'il revient au présent.
Le sang dévalait ses mains pour s'échouer sur le sol en même temps que ses larmes. Il faudrait qu'il nettoie ça aussi. Lucifer ne serait pas content et pourrait le foutre dehors et alors il ne saurait pas où aller.
Camile avait rejoint la salle de bain. Il frottait le sang sous le robinet, quand des bras avait entourés son torse et qu'une tête s'était posé sur son épaule. Dans le miroir il avait croisé ses yeux bleus, avait observé ses douces boucles blondes, et avait laissé traîner plus longtemps qu'accepté ses yeux sur ses lèvres rosés.
Le bond avait souris à Camile et avait murmurer dans son cou :
- Fait voir ta main, je vais t'aider.
Camile s'était retourné, avait passé un main dans ses cheveux bruns un peu trop long, les tâchants peut-être de quelques gouttes de sang.
Leurs yeux s'étaient accrochés, avant que l'ange n'attrape sa main, sorte du désinfectant et des bandages. Puis ils s'étaient quittés quand il avait commencé à le panser.
Quand ce fût au tour de leur lèvres de se rencontrer à nouveau, Camile fût rassuré.
Gabriel était de retour.
"C'est quand on comprend que les anges ne sont que des hypocrites que le terre laisse place à l'enfer "
Une deuxième assiette qui vole pour rejoindre la première au pieds de Camile. Quand il avait fait tomber la première, il craignait déjà son retour, mais maintenant il en était sur. Lucifer était de retour.
De ses yeux brûlants des enfers il le fixait. Ses cernes noirs les soulignaient, lui donnant un air presque irréel qui effrayait Camile. Sa bouche d'habitude pulpeuse, n'était plus qu'une ligne droite. Camile aurait jurait voir les flammes se dressait derrière lui quand il avait déclarait d'une voix qui ne laissait place au refus :
- Nettoie.
Puis il avait quitté la pièce en prenant garde à bousculer l'épaule du pauvre jeune homme.
Celui-ci avait ramassé les morceaux brisés sur le sol. Les cris de son copain lui revenant sans cesse, lui crevant les oreilles. Ce ne fut que quand il s'ouvrit la main involontairement qu'il revient au présent.
Le sang dévalait ses mains pour s'échouer sur le sol en même temps que ses larmes. Il faudrait qu'il nettoie ça aussi. Lucifer ne serait pas content et pourrait le foutre dehors et alors il ne saurait pas où aller.
Camile avait rejoint la salle de bain. Il frottait le sang sous le robinet, quand des bras avait entourés son torse et qu'une tête s'était posé sur son épaule. Dans le miroir il avait croisé ses yeux bleus, avait observé ses douces boucles blondes, et avait laissé traîner plus longtemps qu'accepté ses yeux sur ses lèvres rosés.
Le bond avait souris à Camile et avait murmurer dans son cou :
- Fait voir ta main, je vais t'aider.
Camile s'était retourné, avait passé un main dans ses cheveux bruns un peu trop long, les tâchants peut-être de quelques gouttes de sang.
Leurs yeux s'étaient accrochés, avant que l'ange n'attrape sa main, sorte du désinfectant et des bandages. Puis ils s'étaient quittés quand il avait commencé à le panser.
Quand ce fût au tour de leur lèvres de se rencontrer à nouveau, Camile fût rassuré.
Gabriel était de retour.
"C'est quand on comprend que les anges ne sont que des hypocrites que le terre laisse place à l'enfer "
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