Chapitre 1
Chapitre 1
Une femme parle avec un autre homme :

-cette fille est un cas incurable ou encore désespère au lieu de nous embêter avec ce cas il devrait laisser la place aux autres patients qui veulent guérir. Elle devrait aller en prison.

-Je sais mais la directrice tiens a ce que tout soit parfait aucun échec pour cet établissement.

-oui c'est désespérant.

Les deux personnes repartent a leurs occupation.

Tu es assise sur ta chaise en train d'écouter une de ces chansons d'ascenseur. Tu es en train de faire des origamis. Les psychologues pensent que c'est une bonne chose et que c'est un bon remède et thérapies. Après tout la construction est une des choses que tu préfères après la destruction. Malgré cela les origamis t'ennuient. Pour faire un origami il faut suivre un protocole une direction. Tu détestes les protocoles les consignes les règles. Fait ce que tu veux du moment que tu restes dans le cadre qu'on te donne. C'est franchement une phrase illusoire. C'est n'avoir aucun droit.
Tu arrêtes cet amusement et t'assoies calmement. Tu laisses échapper un rire à faire glacée les os des autres patients. En fait, tu attends ton nouveau psychologue.
Tu as réussi à faire démissionner les uns après les autres. Ils ont tous abandonné. « Un cas désespère a ton dit. Tu aurais aimé les bruler lentement les douze vivants. Tu as réussi a en tuer une qui n'avait pas fait le contrôle sécurité puisque elle avait laissé les ciseaux dans ta chambre. C'est tellement triste. Tu ris de nouveau.
Tu en auras un treizième. Il va arriver bientôt. L'hôpital n'a toujours pas abandonné. Pourquoi ? Oscar Wild a toujours était réputé pour son efficacité à soigner et pourtant. Tu as envie d'être leur premier échec. Il est évident que la directrice ne laissera pas une patiente ruine l'honneur de son hôpital. Quitte à sacrifie une partie de l'équipe.

Avant ton arrivé ici, tu allumais des feux dans des bâtiments. Aucun mort mais des brulures graves. Tu cherchais une occupation. Tu cherchais l'adrénaline du danger et les cris des passants. Rien de vraiment très passionnant. Rien te fais ni chaud, ni froid.
Ça fait un an que t'es là, dans ce bâtiment blanc et spacieux mais aussi calme et ennuyeux que ton ancienne vie. Ensuite le diagnostic est tombé. Sociopathe. Il aurait surement pu te mettre en prison mais ils ne l'ont pas fait.
Ton psychologue va arriver. Cinq personnes te mettent une veste blanche et resserrent les sangles. Ils sortent toute suite de la salle pur laisser place à ton psychologue.
Il toque et dit :
- bonjour, je suis ton nouveau psy-

Tu le coupe et dis :
-Tu ne peux pas être mon psychologue. Tu as l'aire trop stupide pour l'être.

Il te regarde en fronçant des sourcils et te dit :
-Pourquoi ?

Tu dis :
-Tu n'as aucunes cernes. Tu sembles avoir aucune idée de ce qui se passe ici ni même une expérience. Tu es surement égaré. Tu ne supporteras jamais quelqu'un comme moi. Tu es surement un de ses imbéciles de leurs patients qui s'est égaré. Et même pourquoi il m'enverrait un bigleux comme toi de toute façon je n'ai besoin de personne.

Il te répond d'un air décontracté et calme :

-J'ai fait mes d'études en psychologie donc ne t'inquiètes et puis j'ai eu une centaine de patients avant toi. Et surtout j'évite de perdre mon temps avec des discours inutile comme celui-là.

Il enlève des bouchons d'oreille. Tu n'y avait pas pensé. Il te dépasse sur ce point-là. Il faut que tu reprennes le dessus et vite.

Il te répond :
-Sans me vanter, je suis très doué donc tu ne seras pas une exception. Ne te crois pas différentes ni même spéciale. Un bonjour chaleureux aurait était plus siple non pour les présentations non ?

En plus il se permet de faire des blagues de mauvais gout. Celui-là tu vas le tuer un jour. Ça sera le 1er de la liste.

Tu dis :

-Haha tu es très drôle.

-Pff...Bon je me présente, je suis Luca Walle et toi ?

- Je suis le 673ème patient de cet endroit.

-Je te demande ton prénom.

-Ça doit être écrit sur le bloc note que tu as, non ? Alors pourquoi me le demander ? Et puis je n'ai pas envie de répondre.

- Carla, tu es une humaine donc présente-toi comme quelqu'un de normal.

-Pourtant je ne suis pas si normal que ça, il n'y a personne dans cette pièce appart les caméras. Demande au cameras de se présenter. Tu viens de te trahir Luca, tu as dit mon prénom.

Tu réponds mollement sans le moindre respect. Tu te balances sur ta chaise en le regardant avec un air de défis. Tu sens que cette fois il va se passez quelque chose d'intéressant, puisque il n'a toujours pas appelé une aide extérieur ou allez voir ses collègues de l'autre cote de la vitre. Au vus de son silence soudain, tu dis :

-Alors ? Ou sont tes collègues. Les scientifiques sur diplômer et leurs diplômes inutiles ? Ils sont tous inutiles c'est pour ça que tu ne les appelles pas pour qu'ils puissent faire comme le 13 décembre ?

-Carla...je n'écoutais ce que tu disais, je pensai que tu n'avais rien à me dire alors j'ai piqué un petit somme...

-Quoi, mais pour qui tu te prends.

-Pour quelqu'un de mystérieux intelligent et incroyablement doué comme toi.

-Crève tu veux ? Tu perds ton temps dégage. Tu m'as déjà fait perdre 10 minutes et 2 secondes de ma vie. Les autres m'ont fait perdre entre 5 minutes et 8 minutes.

-Ah bah dans ce cas-là je te ferai perdre 360 jours minimums voilà, je te laisse à tes occupation. Bref, tu me fais perdre mon temps, Carla Hatten. Et si on lisait ton dossier ?

Tu le regardes et ferme les yeux quelque instants. Il va disparaitre. Tu les ouvres. Il a disparu. Comment as t'il fais ? Le rendez-vous n'a duré que...30 minutes !? Impossible ça doit être une blague. Juste une blague.

© eclairauchocolatnoir ,
книга «Sociopathe : la haine triomphe toujours».
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